Les petits exploitants agricoles, responsables de jusqu’à 80 % de la production alimentaire dans les pays en développement, se trouvent en première ligne de la lutte contre le changement climatique.
Leur potentiel d’impact est significatif, comme le souligne Jyotsna Puri, qui met en avant que des pratiques adaptées peuvent protéger les sols et favoriser le stockage du carbone.
Cependant, ces petits producteurs n’ont accès qu’à 1,7 % du financement destiné à l’action climatique, mettant en évidence un important déficit en termes d’accès aux ressources nécessaires pour adapter leurs pratiques et réduire les émissions.