L’agriculture intensive joue un rôle crucial dans la perte de biodiversité. La transformation des terres en vastes monocultures détruit les habitats de nombreuses espèces, y compris les pollinisateurs essentiels tels que les abeilles, qui sont responsables de la pollinisation de 35 % de notre approvisionnement alimentaire.
De plus, le secteur agricole, notamment à travers ses pratiques intensives, contribue à hauteur de 12 % des émissions de gaz à effet de serre, principalement en raison de l’utilisation excessive d’intrants chimiques.
Cette importante empreinte carbone accélère le changement climatique, mettant en péril les équilibres écologiques et, par conséquent, la sécurité alimentaire mondiale.